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jeudi 17 février 2011

La Douleur!



An English version will follow shortly.


Bien plus qu'une simple sensation désagréable, la douleur indispose de nombreuses personnes, mais elle est néanmoins un mal nécessaire. Véritable système d'alarme, elle nous protège en nous informant de blessures ou de lésions potentielles. D'après l'ISAP (International Association for the Study of Pain), « La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, liée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite en termes d'une lésion. »

 Différents types de récepteurs sont présents dans le corps pour recevoir les informations de l’extérieur (récepteurs de température, de pression, d’étirements…)  Ces récepteurs envoient un message au cerveau (influx afférent sensoriel) et ce dernier réagit via un influx efférent moteur qui provoquera un mouvement réflexe de retrait (mouvement rapide et involontaire, comme lorsqu’on retire la main du feu) ou d’un changement de position du corps.

Les causes de la douleur

Elle peut être provoquée par un traumatisme (coup direct, entorse, plaie, brûlure, choc), une maladie ou encore une irritation d’un nerf. Suite à ce trauma, le corps va se placer en mécanisme de protection afin de ne pas aggraver la lésion et de pouvoir débuter le processus de guérison. Le corps humain possède la capacité de s’auto-guérir. Pour y parvenir, il utilisera les agents cellulaires du système immunitaire pour nettoyer et désinfecter la région affectée.

Par exemple, la douleur intense au bas du dos, ressentie suite à un faux mouvement est utile à plusieurs niveaux. Premièrement, elle nous permet de se rendre compte qu'une problématique est apparue. Cette douleur engendrera un spasme de protection des tissus mous (muscles, tendons, ligaments, fascias, peau) avoisinants la blessure et parfois de l'œdème (enflure) dans l'articulation. Ce mécanisme de protection est engendré par l'inflammation (nous en reparlerons dans une autre chronique) a pour objectif de restreindre nos activités, de limiter nos mouvements et de nous amener à prendre du repos afin que nous puissions récupérer. L'arrêt de l'activité ou du mouvement provoquant la douleur est aussi un gage de sécurité puisqu'il permet de nous empêcher d'aggraver la problématique.

Le processus inflammatoire initial peut être présent jusqu’à 72h tout dépendant de la gravité de la blessure.

La perception de l’intensité de la douleur est propre à chacun et varie en fonction de la personnalité, de la culture, de l’état d’esprit, du niveau de stress et de bien-être personnel.

En sachant que l’inflammation est nécessaire pour démarrer le processus de guérison, nous pouvons nous demander si notre quête pour l’éliminer rapidement est idéale.
Notre première réaction est d’essayer de bloquer la sensation de douleur en prenant des relaxants musculaires, des anti-inflammatoires et en appliquant de la glace.

Il est impératif de s'assurer que nous n'essayons pas simplement de masquer la sensation douloureuse, le signal d'alarme pour simplement continuer à réaliser nos activités, notre sport ou les gestes répétitifs qui causent notre problème. À notre avis, le contrôle de la douleur devrait être avant tout dans un but de confort en attendant de déterminer et de régler la cause initiale du problème et non de mettre un pansement sur une plaie pour continuer de bouger sans prendre le temps récupérer.

Le spasme protecteur engendré par le traumatisme perdurera tant et aussi longtemps que la douleur sera présente. Par exemple, si la douleur est présente pour deux à trois semaines, le mécanisme de protection durera de deux à trois semaines.

Lorsque le mécanisme protecteur est présent pour une longue période, le système nerveux s'adapte en modifiant la programmation des tissus mous. Ainsi, les tissus n'arrivent plus à retrouver toutes leur souplesse puisqu'ils auront été reprogrammés pour fonctionner sur une longueur plus courte. Si les fibres sont plus courtes, nous augmentons le risque d'être prisonnier du cercle vicieux de la douleur chronique.



Par exemple, si les muscles qui s'attachent à l'épaule sont plus courts parce que leurs fibres ont été rétractées, les chances de s'irriter davantage augmentent puisque les risques d'accrochage seront eux aussi augmentés. De plus, le système nerveux devient dans un état dit « neuro-facilité » ce qui veut dire qu'un facteur irritant minime peut engendrer une réaction de protection importante. Comme si le système nerveux devenait hypersensible et hyper réactif.  

Dans le prochain blog nous discuterons du processus inflammatoire

Par
Éliane Bousquet
Praticienne en ostéopathie, massothérapeute sportif et directrice du Centre Kinesis

et

Yanic Szoghy
Kinésithérapeute sportif et Directeur du Centre Kinesis






1 commentaire:

  1. e suis très ravi. à tous ceux qui lisent ceci, je veux informer le public sur la façon dont j'ai été guérie du cancer de l'ovaire de stade 2 par les médicaments à base de plantes du dr itua. J'ai souffert d'un cancer de l'ovaire et j'ai également pris un traitement auprès de mon médecin, mais pas d'issue, il y a quelques semaines, je suis venu sur Internet pour voir si je pourrai obtenir des informations sur la guérison des cancers. vu divers témoignages de personnes qui ont été guéries de cancers de l'utérus et de tumeurs cérébrales par le bon médecin, appelé dr itua. sans aucune hésitation, j'ai contacté son email: drituaherbalcenter@gmail.com et je lui ai écrit et et il m'a guidé, je lui ai demandé des solutions et il a commencé les remèdes pour moi alors j'ai commencé à utiliser le médicament, après la période de trois semaines donnée pour moi, par le dr itua, j'ai été complètement guéri, plus aucune tumeur sur mon corps n'a été trouvée. alors cher téléspectateur, pourquoi vivre ta vie chez un thérapeute ou une chimio?contactez-le maintenant sur whatsapp +2348149277967 il est capable de guérir les maladies listées: arthrite, sclérose latérale amyotrophique, tumeur cérébrale, fibromyalgie, cancer du pancréas, toxicité des fluoroquinolones cancer de la vessie, cancer du cerveau , le vih, l'herpès, le cancer de l'œsophage, le cancer du rein, le cancer de la vésicule biliaire, la maladie trophoblastique gestationnelle, le cancer de la tête et du cou, le lymphome hodgkinien, le cancer de la thyroïde, le cancer de l'utérus, les fibromes, l'angiopathie, l'ataxie, le cancer de l'intestin, le VPH, le cancer du poumon, le mélanome, le mésothéliome, myélome multiple, tumeurs neuroendocrines lymphome non hodgkinien, cancer de la bouche, cancer de l'ovaire, cancer des sinus, hépatite, cancer de la peau, sarcome des tissus mous, cancer de la colonne vertébrale, cancer de l'estomac, leucémie, cancer du foie, cancer du vagin, cancer de la vulve, maladie d'alzheimer, diarrhée chronique ,copd,parkinson,als,mononucléose infectieuse carcinome corticosurrénalien. cancer des testicules, maladies tachymétriques, cancer de la gorge, toc, syndrome fibrodysplasie ossifiante progression sclérose,

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